A la fin du mariage, le marié brise un verre et prononce les paroles du psaume qui (127) en souvenir de la destruction du temple de Yéroushalayim.
« Si je t’oublie Jérusalem, que ma droite m’oublie,
que ma langue colle à mon palais
si je ne fais pas monter Jérusalem au sommet de ma joie ».
Voici la version traditionnelle de ce psaume, que j’ai arrangée pour piano solo
( pour imprimer en pdf, cliquez sur chaque nom de fichier).
Im Eschka’hekh trad. piano solo sol min